Projet

Après quelques après-midi au Humanlab Saint-Pierre à installer un moteur électrique dans la roue avant de son tricycle, c’est devenu possible !

En prime, Tiago est reparti avec deux nouveaux supports de béquille conçus au Humanlab Saint-Pierre, ils se clipsent, tiennent tout seul en s’autoéquilibrant, et sur n’importe quelle surface!

Retour en photos, avec des sourires qui donnent la “pêche”

Voilà un tout nouveau support antébrachial renforcé pour Anaïs qui, on l’espère, va pouvoir marcher un peu plus au quotidien avec cette aide

Thomas fabrique entièrement artisanalement des archets de grande qualité pour des violonistes confirmés.

Atteint d’une paraplégie rendant impossible sa stabilisation lors de gestes extrêmement minutieux, le moment qu’il redoute le plus est le marquage à la “marque au fer” : la signature de l’archet une fois finalisé après plusieurs semaines de travail, en apposant un tison fortement chauffé sur un pan de l’archet.

En trouvant une solution astucieuse grâce à notre graveuse laser, c’est une rencontre inédite entre les nouvelles technologies de fabrication numérique et un savoir-faire ancestral qui a eu lieu au Humanlab Saint-Pierre!

Résultat : un magnifique archet pour alto, et un archetier archi content ! =>> Thomas Koenig (http://thomas-archetier.com/)

Victor a besoin d’emmener son déambulateur au collège pour se déplacer en marchant une fois sur place.

L’idéal? ==> Trouver un moyen de le fixer facilement derrière son fauteuil roulant, sans avoir recours à des outils, et ceci en toute sécurité.

C’est avec ce cahier des charges que l’équipe du Humanlab s’est creusée les méninges pour concevoir ce système qui, on l’espère, facilitera le quotidien de Victor en lui donnant un peu plus d’autonomie!

Jean souffre de la maladie de Parkinson. Il est sujet fréquemment à des crises de paralysie soudaines où sa mobilité est sévèrement affectée. Insomniaque, il utilise régulièrement un fauteuil inclinable pour s’allonger la nuit.

Problème ? Comment accéder aux boutons de réglage de son fauteuil initialement positionnés en contrebas de l’appui coude, lorsque l’amplitude de ses mouvements devient faible ?

Après plusieurs tentatives et réflexions, les boutons ont été déportés à un endroit accessible. Un système de glissière a été créé et imprimé pour permettre la manipulation des boutons par Jean, quelque soit sa position dans le fauteuil. Une astuce simple, mais qui permet de lui redonner un peu d’autonomie dans son quotidien!